Nous produisons bien plus d’informations que nous ne pouvons en consommer : à quoi bon ? Cette frénésie de publications entraîne un nivellement par le bas et dévalorise les contenus, dégageant un boulevard pour les fausses informations et les articles racoleurs.
Et si nous ralentissions le rythme ? Et si nous prenions le temps de réfléchir au sens de nos contenus, de publier des articles de qualité, utiles à ceux qui les lisent, au monde qui nous entoure ?
Le slow content est avantageux sur tous les plans : il améliore l’image de marque de ceux qui le pratique, bénéficie au référencement naturel… Mais si l’on va plus loin que l’aspect « communication digitale », le slow content est une véritable « écologie des contenus », nécessaire compte tenu de l’impact du numérique sur l’environnement.